Mon coming out

Lala a écrit:

Laeti la réaction de ta mère est super. On peut la calquer avec la réaction d'un des parents du film que je préfére mon remonte moral mieu que de l'alcool,"Pourquoi pas moi".
Bravo

et bien tu sais pour moi c'était où ça passer ou ils ne m'auraient plus jamais vu, et ça en me connaissant je pense qu'ils le savaient,et ça a aider

depuis toute petite je tombais toujours amoureuse de mes maitresses, mes amies.... mais j'y est jamais vraiment portés attention^^

jusquau jour ou je suis sortie avec un gars et franchement rien a faire je n'aimais pas du tout ^^ donc grosse remise en question... c'est alors que pour mes 18 ans mon best a organisé mon anniv dans une boite gay, je connaissai pas du tout, donc a l'époque j'etais toujours avec mon boulet homme et quand je suis rentrée oh la vache!!! la folie mdrrrrr je me suis sentie trop bien et jai laché le mec pour danser parmis tout les gars hihi et depuis benn je suis passé par tous les styles, androgyne, Punk gothique, femme d'affaire, limite sa m'avais libéré de me dire que j'etais gay et de m'assumer, ensuite jai eu tous style de coiffure mdr toute les couleurs, crète, razée.... loool

ben depuis je suis une fan des femmes looool

Depuis petite je sais que je regarde les filles plus que les mecs. Mais la pression sociale et famiale n'aidait pas franchement à se sentir normale, alors je suis sortie avec des gars.

Je suis tombée sur deux vrais connards, puis j'ai rencontré un autre gars avec qui je suis restée six ans et demi. Notre relation a toujours été plus amicale que réelle mais bon. Je pense que ça a été dur pour lui mais il a très bien réagit car il voulait mon bonheur avant tout. Aujourd'hui c'est mon meilleur ami.

Après je l'ai dit à ma mère, ça nous a permis de nous rapprocher. Puis à quelques amies, idem, très bien, et des collègues en qui je pouvais avoir confiance. Est venu le temps de le dire à ma famille lorsque une de mes cousines s'est mariée et j'étais été invitée si je le voulais avec mon conjoint (eh bien ce fût ma chérie).

Et tout récement, plus dure étape pour moi, celle de le dire à mon père. Il l'a bien pris, contrairement à tout ce que j'aurai pu penser, il est gêné, mais je pense qu'il lui faudra du temps. Il faut savoir respecté la façon dont chacun l'accepte.

Aujourd'hui je suis heureuse car je me sens moi même. Je ne cache plus que je suis lesbienne, je le dis ou non, j'assume sans m'exposer, c'est tout !

J'ai eu 21 ans en avril 2008, date de la majorité officielle pour l'Inde. Comme cadeau, mon oncle avait prévu un mariage arrangé et pour l'occasion m'avait présenté plusieurs jeunes filles me demandant ce que j'en pensais et laquelle me plaisait. J'avais plus ou moins éludé la question. Comme il vit en Angleterre, et moi en France je me suis cru quitte en me disant qu'il n'y penserait plus une fois que je serais parti. Hé non, au mois de Juillet, il est revenu à la charge lors de son séjour à Paris et ne voulant plus repousser l'échéance sous des prétextes fallacieux, je lui ai avoué la vérité.

De toute façon, il valait mieux que mon oncle soit au courant de mon homosexualité, Par contre, je ne m'attendais absolument pas à sa réaction. Bien sûr, je me doutais qu'il ne l'aurait pas pris de gaité de coeur, mais de là à me dire : '...tu as un souci physique qui t'empêche d'être un homme ?' ou bien '..tant que tu n'auras pas connu de femme, tu ne pourras savoir ce tu aimes !' ou encore me proposer d'aller dans un restaurant avec des 'hôtesses'. Il est certain que mon refus n'a pas du lui faire plaisir, ces propositions partaient d'un bon sentiment même s'ils m'ont procuré une honte indéfinissable.

La façon dont il m'a giflé m'a fait plus mal que la gifle en elle-même. Il y avait un tel mépris, de plus, il me l'a appliqué devant "mon ami plus que frère" Mon humiliation a été à son comble d'autant qu'en raison de son âge et lui devant le respect je ne pouvais lui rendre.

Ca a été un beau gâchis. Mon oncle est reparti à Wembley hors de lui et mortifié et moi j'ai perdu le seul parent qui me restait. Un océan nous sépare à présent. Je ne peut dire si je l'aimais ou non, mais, c'était mon seul parent.

aie aie aie, c'est vraiment quelque chose de délicat le coming out...
Tu as eu beaucoup de courage de te lancer. Aprés que ce soit bien passé ou non, on a tous a faire notre vie comme nous l'avons décidé.

Une partie de ma famille est au courant pour moi, mais je ne l'ai toujours pas dit à mes parents.
Je prends mon temps car il y a eu d'autres choses délicates concernant une de mes soeurs alors j'ai voulu les ménager mais je vais me lancer moi aussi d'ici quelques semaines, je ne veux plus leur mentir sur ma situation.

en tout cas bon courage a ceux qui veulent annoncer a leur famille. j'espere que sa va bien se passer et qui vont surtout bien le prendre. comme ma soeur towenda.

tu a beaucoup de courage Subramaniam ...
je te souhaite plein de belle chose ...

C'est très gentil marie016673. Je fais avec, que faire d'autre ?

de rien ce fut un plaisir ...
bonne question ? c dur parfois de trouvé les bon mot ...
parce qu'il a rien a faire, tu n'a commis aucune faute, pas de crime et j'en passe ...tu a fait ce qu'il est bon pour toi, au moment ou tu a eu envie et normalement les gens doivent t'aimé pour ce que tu es et non pour ceux qu'il veule que tu sois.
peu etre qu'avec le temp ... tt ira bien entre vous et tt cela sera derriere vous, c'est ce donc je vous souhaite.

c'est vrai que deja le coming out en lui meme n'est pas simple mais quand il y a des coutume c'est encore plus difficile .. peut etre qu'il lui faut un peu de temps pour digerer la nouvelle et qu'il sans forcement comprendre ton choix, essayera de faire un effort ..

Moi pour ma part je n'ai pas l'intention de le dire a mes parents car deja je sais que mon pere ne comprendrais pas, ma mere je sais pas car je n'en parles jamais avec elle mais je pense qu'elle serait prete a accepter sa fille quoi qu'elle devienne, pour l'une de mes soeur c'est un autre probleme, elle est musulmanne alors pour elle c'est un peu contre nature, mais apres est-ce qu'elle ferait un effort pour moi je sais pas donc je prefere pas en parler ... et en plus c'est ma vie, elle me convient a moi donc les autres je m'en fout ...

Je suis ravie de voir que le sujet du coming-out suscite des réactions et des discussions car c'est un sujet qui me tient beaucoup à coeur. J'ai longtemps gardé mon homosensualité pour moi toute seule et j'ai énormément souffert pendant l'adolescence de ne pouvoir en parler à personne meme pas à mes meilleures amies : je n'osais pas, je craignais qu'elle me rejettent car je me sentais malade mentale, anormale, seule au monde, bref j'avais meme l'impression parfois de venir d'une autre planète !!

Subramaniam : tu as été très courageux d'annoncer cà à ton oncle, d'autant plus étant donné tes origines ! J'espère que ton oncle va réfléchir à 2 fois, depuis combien de temps ne l'as tu pas vu ?

Au fur et à mesure de mes différents coming-outs avec la famille, avec les amis, avec les collègues, je me suis rendu compte qu'il est à chaque fois plus facile d'en parler que la fois précédente. J'encourage donc celles et ceux qui n'ont pas encore eu l'occasion de faire un coming out à commencer, avant les parents, par les personnes en qui vous avez le plus confiance, que ce soit amis, frères et soeurs, psy, médecin... Entrainez vous au coming out avec vos proches et vous verrez que une fois ce poids libéré, vous aurez plus de force pour l'annoncer aussi à vos parents. De plus si ils réagissent mal au début, vous aurez d'autres personnes au courant de tout pour vous soutenir.

Aujourd'hui, je ne me cache plus du tout, je ne me présente pas aux gens en leur disant "bonjour je suis Laetitia et je suis lesbienne" bien entendu !! J'attend juste le moment propice quand il se présente dans la discussion, simplement...

Je m'interroge souvent sur le fait de dire que l'on est homo sur son lieu de travail.
Je me retrouve régulièrement dans une équipe plutôt féminine et la question qu'on ne manque jamais de me demander trés vite c'est : "t'as un copain"? généralement cette question fatidique apparaît dès les premiers jours oû l'on fait ses premiers pas dans un nouveau lieu, encore totalement inconnu... il est difficile de savoir si on peut faire confiance dans son interlocuteur du moment et de lui répondre franchement.
J'opte la plupart du temps pour le mensonge. Je n'aime pas ça, je me sens mal à chaque fois, mais ça me permet de gagner du temps pour mieux connaître les gens qui me le demandent. Parfois aprés coup je n'ai pas regretté de m'être fait passer pour une hétéro et je me félicite d'avoir été prudente. Mais bon j'oscille entre ma peur de me révéler et mon envie de bousculer les mentalités

Mon père a été un des premiers à le savoir.. un peu bêtement mais bon. il est tombé sur un e mail que j'avais imprimé et qui malheureusement est sorti une 2ème fois. pas de bol!
mon père l'a plus ou moins bien pris sur le coup (maintenant c impeccable)
tous mes amis proches sont au courant également même si certains ont tourné les dos tant ps ils ne savent pas ce qu'ils perdent.
pendant ma formatino je n'ai pas fais de comming out vu que c'est un milieu assez macho donc pas toujours évident.
depuis que je suis arrivée en lorraine, mes collègues m'ont di d'en parler au gradés pour éviter certaines rumeurs, ça c'est milieux passé que je ne le pensais donc c'est cool!!

il reste une personne a qui je ne l'ai pas dit : ma mère, je pense qu'elle le sait mais je n'arrive pas à lui dire en face, je ne suis pas en très bon termes avec..

(c'est un commng out raccourci j'ai surtout mis les grandes ligne)

J'ai l'immense honneur et privilege d'etre née dans une famille de province (aux milieu des champs et des ptites vaches..), une famille catho pratiquant la religion par intra-veineuse et dont les stars sont Christine Boutin et le Pape..
donc le coming out, autant dire qu'il a été plutôt douloureux. Dans les deux sens!
J'ai eu le complet veston bien ciré- Bible avec tous les passages ou il est question de quitter sa famille pour rejoindre son mari(mâle-homme-viril); le cantiques des cantiques ou le joli prince court cul nu dans la nature rejoindre sa bien-aimée bref..suis définitivement classée catégorie anormale voir dangereuse car pestiférée!!
Et par d'autres le fameux "quel gachis"..!

Ah! la bonne pensée catholique!!

Donc aujourd'hui, j'ai des conversations terribles avec mes parents; "il fait quel temps ? ah oui? et le travail? toujours autant?..bon bisou ma puce on se téléphone bientôt hein?Voui voui, bisous bisous"
Voilà voilà...

Mon coming out? Oh, une partie de pêche!!

Des bisous à toutes les "anormales" dont l'anormalité me plait tant!

Et moi qui croyait qui les européens étaient plus libres que nous autres Indiens, Pakistanais, Srilankais ou Bengladeshi. Je m'apperçois que c'est pareil sous toutes les lattitudes

Bonjour Subramaniam, à 21 ans il faut une sacrée force de caractère pour pouvoir avouer son homosexualité à sa famille... surtout quant on est originaire d'un pays comme l'inde où les traditions prennent une place importante dans la vie des gens. Je comprends se sentiment d'humiliation que tu as ressenti meme si il n'est absolument pas légitime car tu es un homme et il n'y a rien de malsain dans tes sentiments soit en sure.

Ce mépris que tu as lu dans ses yeux... un mélange de honte et d'incompréhension (que je connais) et difficile à supporter mais malheureusement la vie est pavée d'épreuve comme celle-ci.

A 16 ans j'ai eu ma première expérience homosexuelle, j'étais follement éprise de cette fille sans trop comprendre ce qui m'arrivait... dans mon enfance j'avais bien senti que j'avais des sentiments ambigue par rapport à certaine de mes amies mais je m'efforçais de refréner mes envies en occultant complètement ce que je ressentais. A 17 ans mon frère m'a surprise avec ma petite copine et il a foncé le répéter à ma mère! Je la trouvais toutes les nuits m'attendant dans ma chambre en pleurant. Elle me disais que je la poussais dans la tombe, qu'elle avait totalement raté son éducation, que c'était contre nature! bref terrible pour une enfant qui aime sa mère plus que sa vie...

Je lui ai dit qu'elle cesse de pleurer, que c'était juste une passade et que c'était fini et nous en avons plus jamais reparlé. Le mois prochain j'ai 30 ans et ça fait 14 ans que je passe à coté de ma vie pour elle, si tu savais comme j'en ai marre!

Un jour je trouverai ton courage... en tout cas merci de ton témoignage... bonne chance pour ton avenir

Cracotte, ton témoignage est très touchant ! Il n'est pas possible que tu continues à sacrifier ta vie pour épargner ta mère ! As-tu eu d'autres histoires amoureuses pendant ces 14 ans, que ce soit femme ou homme ?

Bonjour Cracotte,

Je comprend votre dilemme. Mes parents et surtout maman aurait encore été vivante, je n'aurais rien dis. Je me serais plié comme la majorité des hommes et femmes du continent indien à la volonté de mes parents.

J'ai élevé en tant qu'homme et en tant que tel pour fonder une famille et subvenir à ses besoins tout en respectant et en honorant ses parents et surtout notre caste. En Inde, si l'on n'a pas de famille on n'existe pas...

Mon oncle bien que tuteur à la mort de mes parents n'a jamais rien fait pour moi. J'étais déjà indépendant matériellement puisque je travaille depuis l'âge de 16 ans. Le seule chose dont je dois le remercier c'est de ne pas m'avoir réexpédier en Inde ou confié à un orphelinat. La majorité légale est fixée à 21 ans et je n'aurais pas eu mon mot à dire. Il m'a laissé dans l'appartement de mes parents ou je suis toujours du reste et débrouille toi. Lui s'est contenté de signé les papiers le nommant comme tuteur. Donc....

Mais ce qui est bien quand même d'avoir une maman. J'espère que parallèlement vous avez pu trouver une amie qui comprend votre situation et qui l'accepte.

Bien à vous.

C'est terrible ce que tu écris Cracotte, et invraisemblable; quand ta mere ne sera plus là..que restera t il? des regrets?
Pardonne la cruauté de mes propos mais le véritable amour n'est il pas d'accepter que son enfant soit heureux, quelques soit ses choix??
Tu as 30 ans..n'attends pas, la vie elle file et défile à une vitesse folle, vis! Aime! Déteste! Ressens! N'attends pas...

Et je suis certaine que tu es attendu quelque part..

Oui, je suis d'accord, tu es surement attendue quelque part Cracotte !

Bonsoir Cracotte vis surtout ce que tu es, et ne vis pas en fonction des autres même ta famille, ton bonheur t'appartiens et toi seule peut en décider....

Courage, bizzzzzzzzzzzzz

bonsoir Aelle, Towenda

Tout d'abord merci... j'espère effectivement que quelqu'un m'attends quelque part... Aelle tes propos ne sont pas cruel, il reflète exactement ce que mon cerveau et capable d'analyser, c'est à dire que tu as raison. Malheureusement mes émotions prennent souvent le pas sur ma réflexion et c'est là que siège la base du problème. Il est vrai qu'une mère devrait pouvoir accepter les choix de son enfant même si pour ça elle doit abandonner ce qu'elle avait prévue pour elle: un beau mariage, des petits enfants ,une belle maison avec des barrières blanches et tout et tout... mais le simple fait que je sois heureuse devrait pouvoir lui suffire et j'en suis pleinement consciente.Je n'ai jamais trouvé le courage de l'affronter en lui disant la vérité et mentir et devenu mon quotidien, par lâcheté, je lui est inventé une relation hétéro avec mon meilleur ami, tout ça pendant cinq ans !(oui je sais c'est pathétique, c'est triste à en rire). Parallèlement à ça j'ai eu plusieurs relations avec des femmes plus jeunes que moi qui n'avait pas forcement les mêmes envies que des gens plus âgés,qui veulent légitimement vivre une histoire dans la lumière, vivre avec moi... choses que je ne puis offrir puisque je ne vis que dans la clandestinité.

J'ai eu beaucoup de mal à m'accepter mais j'arrive au terme de ma quête pour découvrir qui je suis... je m'appelle Lydia et je suis lesbienne , je l'ai pas cherché ça c'est imposé à moi, c'est comme ça! je me sens prête à l'affronter, la prochaine relation sérieuse qui me sera offerte d'avoir, je l'a mettrai au courant qu'elle sache qui est vraiment ça fille... je ne ressens plus de honte, je ne vivrai plus ma vie par procuration! même si pour cela...

bonsoir Veterinaire... je te remercie... vous me faites réflechir, c'est bien je pense que c'est la base d'un bon forum! bisous à toi

Ce n'est pas facile d'avouer qui on est. On a toujours peur de la réaction des autres et notamment nos parents. Je l'ai caché pendant 3 ans, puis un jour mon père l'a su. Il était déçu car il voulait être grand-père, marier sa fille. Mais en parlant il a compris qu'il pourra être grand-père et ce même si j'aime une femme. par contre je ne l'ai jamais dit à ma mère, je n'y arrive pas, j'ai peur de sa réaction... depuis ma rupture je lui mens je n'arrive pas à lui dire que je ne suis plus avec...
je cherche juste à me poser avec une femme qui saura m'aimer pour ce que je suis...
je comprend ce que tu ressens cracotte, ce n'est pas évident à assumer.
je l'ai dit à mes patrons et certains collègues, ils ont bien réagi contrairement à ce que je penser...

Bonjour Nérisson,

Tu as raison pas facile d'avouer qui on est... dans ma vie social, si je sens une personne avec une certaine ouverture d'esprit en face de moi, je me livre assez facilement car un rejet éventuel ne me causerai pas de carences affectives or en ce qui concerne la famille c'est plus délicat. Mon père s'en doute il me tend régulièrement des perches en me disant que si ça fille était lesbienne, il n'en ferai pas toute une histoire... mais pour ma mère, je sens que le jour où je vais lui dire, elle aura de grosses difficultés à le gérer. Je comprends donc le dilemme qui s'impose à toi face à la tienne! mais tu as eu le courage d'en parler à ton père, malgré tous ce que ça à du engendrer par la suite... je pense que tous les parents font une projection sur la vie future de leur progéniture: un mariage, des petits enfants, donc forcément quant tout est chamboulé!

Tu as pu en parlé dans ta vie professionnelle: risqué surtout dans le secteur d'activité dans lequel tu travailles où il doit y avoir pas mal de machisme... tu as été agréablement surprise, ça le fait comme quoi!!

En tout cas merci pour ton petit message que tu as voulu neutre, sans jugement...